Un nouveau service bruxellois d’information et d’accompagnement en agriculture urbaine

Un nouveau service bruxellois d’information et d’accompagnement en agriculture urbaine

Un nouveau service bruxellois d’information et d’accompagnement en agriculture urbaine

Du potager collectif, en passant par le projet de serre sur toit, au projet de maraîchage urbain, le nouveau site du Facilitateur en Agriculture Urbaine (FAU) répond à toutes vos questions !  

Service d’information et d’accompagnement pour le développement des projets bruxellois en agriculture urbaine, le projet initié par Bruxelles Environnement et Bruxelles Economie Emploi est coordonné par Groupe One  en partenariat avec Terre en vueEtudes et Recherches Urbaines (ERU) et Greensurf.  Le service de Facilitateur en agriculture urbaine s’inscrit dans le cadre de la stratégie régionale Good Food  et vise à augmenter la résilience alimentaire de la ville via une production urbaine innovante, performante au niveau environnemental et économique et créatrice d’emplois bruxellois non délocalisables.

Deux actions majeures sont visées : le soutien à la production agricole professionnelle et la promotion de l’autoproduction. Le site internet du FAU vous permet d’accéder à des fiches d’information thématiques rédigées par les experts du Facilitateur. Par ailleurs, le FAU propose un service de guidance par des experts pluridisciplinaires qui accompagnent les projets de création ou de développement d’entreprise, des propriétaires et promoteurs immobiliers, des organismes publics et collectivités. 

Enfin, n’hésitez pas à vous inscrire à la nouvelle newsletter du Facilitateur en Agriculture Urbaine.

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Enprobel, un duo de choc pour collecter les huiles usagées

Enprobel, un duo de choc pour collecter les huiles usagées

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Enprobel (« Environnement Propre pour notre Belgique ») a été créée et lancée en octobre 2017 par deux jeunes entrepreneurs bruxellois, Nahla El Mernissi et Imad Mouakkat. Nahla est diplômée en Master de la gestion d’entreprise et gère le day-to-day business. Imad est à la base de la création de la SPRL, assurant aujourd’hui la collecte d’huile de friture. Face à la problématique des déversements abusifs des huiles et graisses de friture dans les canalisations, et sachant qu’1 litre d’huile usagée déversée pollue plus de 1000 litres d’eau potable, les deux entrepreneurs ont souhaité agir. Ils ont mené une étude de marché qui a démontré qu’1 Belge sur 2 jette ses huiles usagées dans les canalisations. Dès lors, plutôt que d’investir dans des systèmes de filtrage d’eau afin de dépolluer, pourquoi ne pas assurer directement un service de collecte de ces huiles ?  

La pépite de 2018

Groupe One a eu le plaisir d’assurer le coaching pour le développement de ce projet : les deux entrepreneurs ont été accompagné par Christophe Grasser, tout en prenant part au programme Greenlab.brussels d’accélération en entrepreunariat circulaire.  A l’issue de ce programme, le projet a été nommé lauréats de l’édition Greenlab 2018 !

Du restaurateur à l’habitant

Une centaine de clients bruxellois et quelques grands noms de la restauration en Flandre (Anvers) et en Wallonie (Namur) sont clients d’Enprobel. Leur business model est basé sur un rachat des huiles auprès des professionnels pour ensuite les vendre à un sous-traitant. Les huiles seront filtrées et décantées afin d’en constituer une base saine pour la production de biocarburant, de produits de savonnerie et de cosmétiques. Enprobel compte également cibler les particuliers et pour ce faire, depuis juillet 2018, l’entreprise a développé un partenariat avec un immeuble de plus de 400 appartements.  Les habitants peuvent ainsi déposer leurs huiles usagées dans des bidons mis à leur disposition. Et la petite entreprise ne compte pas s’arrêter là. Elle a pour l’instant, le soutien de la Région de Bruxelles-capitale et de Bruxelles propreté mais compte agrandir ses partenariats afin de développer la solution à plus grande échelle. Ainsi, elle est en négociation avec les communes ainsi qu’avec divers syndicats d’immeubles.

Si vous désirez vous investir dans ce projet, n’hésitez pas à contacter Nahla El Mernissi à enprobelco@gmail.com

Site internet: http://oncollectevoshuiles.be/

Page facebook: https://www.facebook.com/enprobel/

 

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La Recyclerie sociale de St-Gilles

La Recyclerie sociale de St-Gilles

La Recyclerie sociale de St-Gilles

Vous souhaitez vous débarrasser de meubles, de bibelots, d’objets de décoration? Une nouvelle recyclerie ouvrira bientôt ses portes à Saint-Gilles !Les meubles, lampes, tapis, vaisselles, objets de déco, jouets…. seront triés et revalorisés par une équipe spécifiquement formée dans le cadre d’un projet de réinsertion socio-professionnelle. Ils seront ensuite vendus dans la boutique de la Recyclerie.  En attendant l’ouverture, découvrez la présentation du projet en images, dans une vidéo élaborée par Charlotte, Valentine et Clara, des étudiantes dans le cadre du programme IHECS preneurs. Ouverture prévue au printemps !

Suivez les aventures de la Recyclerie sur Facebook et Instagram

La Recyclerie Sociale de Saint Gilles est un projet initié par la commune de Saint-Gilles et Groupe One, financé par la Région bruxelloise.

Vidéo réalisée par Valentine Landuyt, Charlotte Legrand et Clara Mercier.

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Lettre à nos arrière-petits-enfants

Lettre à nos arrière-petits-enfants

Lettre à nos arrière-petits-enfants

Ensemble face au défi climatique, les personnalités belges adressent une lettre à leurs arrière-petits-enfants

Les citoyens réclament le changement et la marche Claim the Climate du 2 décembre fut l’occasion de constater l’ampleur du mouvement : plus de 70.000 personnes dans les rues de la capitale ! Nous sommes convaincus que le succès historique de cette marche repose sur une incroyable dynamique déployée au sein de nombreuses initiatives. Chacun, à sa manière, a pu contribuer au succès de cette mobilisation citoyenne. Au sein de Groupe One, nous avons l’intime conviction que le changement de notre système économique et l’émergence d’une nouvelle génération d’entrepreneurs engagés sont indispensables pour assurer un impact d’envergure… et pour que nos arrière-petits-enfants soient fiers de nous ! 

« Dans 100 ans… tu auras 20 ans »

Au cœur de cette mobilisation et de cet enthousiasme débordant, une vingtaine de personnalités issues du monde culturel, médiatique et économique évoquent l’urgence climatique dans une lettre à leurs arrière-petits-enfants. A travers ces lettres, elles partagent avec les lecteurs leur vision sur le monde qu’elles vont laisser aux générations futures. Cette action a été initiée avec notre partenaire EcoRes, en tant qu’acteurs de l’économie durable, en collaboration avec Le Soir qui a diffusé ces lettres.

 “Ecrire une lettre à ses arrière-petits-enfants, ça fait réaliser que la vie est plus longue que sa propre vie” écrit le chanteur Chance. C’est l’occasion de raconter la vie d’aujourd’hui et l’importance d’agir pour le monde de demain comme l’exprime Bruno Coppens: “Tout a commencé par un mal de terre. Epouvantable. Et malgré des aspirines, le mal de terre persistait…”. 

Nous remercions toutes les personnalités qui ont participé à cette magnifique aventure et nous vous encourageons tous à publier votre propre lettre en la partageant sur les réseaux sociaux avec le #lettrepourleclimat. On a hâte de vous lire et de continuer ce beau mouvement ensemble !

Découvrez leurs lettres sur le site du Soir ou en cliquant sur les noms des personnalités Myriam Leroy, Pierre KrollCharlie Dupont, Adeline Dieudonné, Chance, Adrien Devyver, Luc Pire, Fred Jannin, Bruno Coppens, Olivier Blin, Jean Galler, Alice on the Roof, Saule, Blanche, Grandgeorge, Jacques Borlée, Alexis Descampe, Philippe Woitrin, Pierre Marcolini, Jean-Pascal van Ypersele, Noa Moon, Typh Barrow, Farah, Pang, Marc Lemaire

Des serres sur les toits pour moins de CO2

Des serres sur les toits pour moins de CO2

Des serres sur les toits pour moins de CO2

Des serres sur les toits pour produire plus de nourriture…

Saviez-vous qu’une ferme urbaine a récemment été installée sur les toits de l’Abattoir d’Anderlecht ? On y trouve une culture en aquaponie, 2000 m² de serres et 2000 m² de potager. Elle sera entièrement finalisée fin 2018 et vise à démontrer que l’agriculture urbaine à haut rendement et à longueur d’année est une façon plus futée, plus durable et plus pérenne de nourrir les villes.

Le mois dernier, Groupe One et les autres partenaires du projet Groof ont visité cette ferme innovante afin de découvrir et répertorier les « best practices ».-

… mais aussi pour réduire les émissions de CO2

Le projet «Groof» ou «Greenhouses to reduce CO2 on roofs» est un vaste programme de quatre ans visant à réduire les émissions de gaz à effet de serre par la mise en place de serres sur les toits d’immeubles.
Cette approche permet de combiner le partage d’énergie et la production locale d’aliments : la serre de toit récupère la chaleur produite et non consommée par le bâtiment sur lequel elle est installée pour «nourrir» des plantes qui recueillent le CO2. Ainsi, ce système contribue à la réduction des émissions de gaz tout en produisant localement des plantes comestibles.

Mais pour que cette pratique puisse largement se démocratiser, il faut encore en prouver l’efficacité et lever un certain nombre de barrières, notamment légales.

 

Un projet international

Ce programme expérimental soutenu par INTERREG est mené par plusieurs pays du nord-ouest de l’Europe : la France, la Belgique, l’Allemagne, l’Espagne et le Luxembourg. Dans chacun de ces pays, plusieurs partenaires sont engagés : l’Institut de formation sectoriel du bâtiment (LU), l’Université de Liège (BE), Groupe One (BE), le Cluster Eco-Construction (BE), le Centre scientifique et technique du bâtiment (FR), Gally Farms (FR), ASTREDHOR (FR), EBF (DE), Université des sciences appliquées de Trèves (DE), Université autonome de Barcelone (E). Tous ces partenaires sont coordonnés par le Conseil pour le développement économique du secteur de la construction (CDEC) au Luxembourg.

Groupe One apporte à ce projet des compétences et des connaissances précieuses telles que son expertise dans le développement de l’agriculture urbaine ainsi que sa vision et son expérience de l’entrepreneuriat respectueux de l’humain et de l’environnement.

 

Trois objectifs

Ensemble, les partenaires du projet Groof vise à réaliser 3 objectifs d’ici 2021 :

AUJOURD’HUI : Mettre en place 4 projets pilotes en France, Belgique, Allemagne et Luxembourg dans le but de démontrer la faisabilité technique et la rentabilité de telles installations.

DEMAIN : Soutenir les porteurs de projets de serre en toiture en leur fournissant une étude de faisabilité.

RENDRE L’EFFORT DURABLE : Identifier les obstacles mais aussi les opportunités au niveau juridique, financier et technique pour la mise en place de telles installations dans nos régions.

Rejoignez le mouvement www.groof.eu

Actuellement, les partenaires continuent à visiter d’autres projets similaires à la ferme urbaine des Abattoirs afin d’établir un état des lieux.