Ce 14 février, nous célébrerons les amoureux. Une belle occasion pour faire plaisir à la personne qu’on aime. En lui offrant un joli bouquet de fleurs, par exemple… Et c’est bien connu, la rose reste la plus emblématique pour célébrer l’amour.
Pourtant, en hiver, les roses se font rares dans notre pays. Importées pour répondre à une demande élevée, elles parcourent des milliers de kilomètres quand elles viennent du Kenya ou consomment énormément d’énergie quand elles poussent dans des serres au Pays-Bas. Une aberration pour l’environnement !
Cerise sur le gâteau, une étude de l’UFC a démontré que les roses offertes à notre cher.e et tendre contiennent des substances phytosanitaires, dont des pesticides. De quoi nous donner envie d’humer une belle rose bien rouge…
Chez Groupe One, nous avons eu la chance d’accompagner des porteurs et porteuses de projet qui travaillent avec des fleurs locales et sans pesticide. On vous partage LA solution pour faire plaisir à votre conjoint.e tout en préservant notre chère planète. Il y en a pour tous les goûts !
Pour les passionné.e.s de nature, le projet Cycle Farm, à Linkebeek propose de faire la cueillette de son bouquet ! Offrez un bon cadeau pour le plaisir de cueillir et de composer votre propre bouquet, entre mi-février et mi-novembre.
A Boitsfort, on vous emmène à la ferme du chant des cailles pour cueillir des fleurs dès la fin février. On commence avec les jonquilles. Viennent ensuite les tulipes et les iris.
Vous aimez les fleurs séchées ? Elles ont l’immense avantage de durer dans le temps !
Découvrez les marquises qui confectionnent des bouquets qui se gardent des mois, voire des années à l’abri de la lumière. Un élément de décoration incontournable qui rappellera longtemps à votre chéri.e que vous l’aimez.
A l’atelier de Morgane Steygers, vous pouvez également retrouver les créations de mon petit bloem. Ses réalisations sont colorées et poétiques. Voyez par vous-même !
Pour celles et ceux qui restent fidèles au bouquet de fleurs classique, on vous conseille Versus, une fleuristerie alternative et responsable. Leurs fleurs viennent tout droit de Belgique et sont cueillies avec amour par des productrices passionnées. La fleuristerie se trouve dans les Marolles, rue haute 158.
La Saint-Valentin est aussi l’occasion de solliciter les commerçant.es et entrepreneur.e.s locaux. Bonne Saint-Valentin responsable !
Ozer Concept propose des vêtements, des chaussures, des sacs et de bijoux en seconde-main. C’est le projet de Mélissa Boels, qui a ouvert son magasin à la rue du Bailli en novembre 2021. Ayant toujours baignée dans le milieu de la mode, elle a beaucoup appris de la filière textile auprès de son père qui travaille dans le secteur. Mélissa est une jeune entrepreneure inspirante qui cherche à habiller les femmes avec une sélection de pièces exclusives tout en retardant le moment où le vêtement est jeté. Rencontre.
Quelle est la particularité d’OzerConcept ?
Je me situe entre le magasin de seconde main de luxe et la friperie. Je propose une sélection de belles pièces et c’est ce qui fait la différence d’Ozer. J’essaye d’avoir des chouettes vêtements, en bon état et de donner l’impression de rentrer dans un magasin qui propose du neuf. Mon ambition est d’amener les femmes qui n’achèteraient pas en seconde-main à se diriger vers cette consommation raisonnée.
Ozer Concept propose un système de dépôt-vente. Les clientes viennent avec leurs pièces, je fais la sélection selon mes choix, pour construire et respecter l’identité et l’univers d’Ozer. Ici, les clientes trouvent des pièces qu’on ne trouve pas partout ailleurs. J’adore ce principe.
Comment en es-tu arrivée à lancer ton magasin de seconde-main ?
Après 2 ans et demi d’expériences dans la mode, j’ai eu envie de m’orienter vers une mode plus durable. J’avais envie de changer les mentalités. La recherche d’un job qui correspondait à mes valeurs a été compliquée. Par ailleurs, je savais qu’à terme, je lancerais mon propre projet même si, à l’époque, je me sentais réticente à l’idée de me lancer aussi jeune de peur de manquer d’expérience. Je ne savais pas si j’avais vraiment les épaules pour ça.
Lors d’un entretien dans une boîte de recrutement, on m’a convaincue du contraire : « Avec ton esprit entrepreneurial, n’hésite pas. C’est justement le bon moment. Et si tu te plantes, tu te plantes ! ».
J’ai ensuite rencontré Gabrielle, la fondatrice de Yuma qui m’a conseillée de rentrer au Start Lab, incubateur de Solvay. Elle m’explique que ça m’aidera à savoir dans quelle direction avancer, étapes par étapes. Ma décision fût prise.
Tu as décidé de t’inscrire au Start Lab et de tester ton idée. Peux-tu nous en dire plus sur ton expérience au sein de cette structure ?
Le Start Lab permet d’avoir un cadre et des objectifs. Ce n’est pas toujours évident au début d’avoir un projet structuré alors qu’on ne sait pas exactement par où commencer. J’avais l’impression d’être face à une montagne.
Cette expérience était l’occasion de faire évoluer mon idée. A la base, mon projet n’était pas tout à fait ce qu’il est aujourd’hui. J’étais davantage tournée vers des marques éco-responsables qu’on n’avait pas l’habitude de voir à Bruxelles. Je trouvais qu’habiller les femmes de manière responsable tout en restant coquette était un joli pari. Après avoir interrogé ma potentielle clientèle, je me suis rendu compte que de nombreuses femmes surconsommaient dans des bonnes marques. La plupart d’entre elles achetaient énormément pour ne mettre que trois fois le vêtement. Lors de ces interviews, je me suis dit qu’il y avait moyen de faire encore mieux qu’éco-responsable : utiliser ce qui existait déjà tout en ayant des super fringues. Ozer Concept est né.
Après le Start Lab, j’ai continué mon suivi au sein de diverses structures. Hub.brussels, par exemple grâce à qui j’ai organisé mon premier pop-up à l’auberge espagnole. En même temps, j’étais accompagnée par Groupe One au Village Partenaire et par le GEL Dansaert. Chez Groupe One, j’ai été coachée par Sarah qui m’a aidée à faire mon plan financier. Sans elle, je n’aurais jamais réussi. Elle est très douée et le contact est bien passé. Avant l’ouverture du magasin, nous nous sommes souvent vues pour réaliser mon plan financier. Maintenant que le magasin est ouvert, nos rencontres sont moins nombreuses mais je sais qu’à la moindre question, je pourrai m’adresser à Sarah parce qu’elle reste accessible et disponible.
Aujourd’hui, après avoir été accompagnée pendant plus d’un an, tu peux te réjouir d’être installée dans ton propre magasin. As-tu déjà de nouvelles idées pour Ozer Concept ?
Effectivement, ce parcours m’a amené à installer mon magasin dans le quartier du Bailli, quartier que je visais parce que je le trouve vivant et que les magasins de seconde-main n’y sont pas nombreux. Depuis que je suis ici, cela se passe à merveille. Les clientes sont contentes et j’observe un réel changement des mentalités, même chez des personnes que je n’aurais pas imaginé toucher. C’est un beau défi. Maintenant que je me suis implantée sur le long terme, j’ai effectivement de nouveaux projets pour Ozer.
Je suis actuellement entrain de développer le projet en lançant par exemple une marque de vêtements d’upcycling avec Juliet Bonhomme. Après 4 mois, si une pièce n’a pas été vendue, la cliente peut laisser son vêtement pour la moitié du montant de ce qu’elle aurait reçu en cas de vente. Et nous l’upcyclons. On coupe, on modifie et on le rend plus attractif. Il revient ensuite au magasin. Je pense que l’upcycling est le nouveau luxe, mais mon souhait est de garder cette démarche attractive. L’objectif est principalement de sensibiliser et de montrer qu’il est possible de retarder le moment où le vêtement est jeté.
Si tu devais donner quelques conseils à un.e futur.e entrepreneur.e, quels seraient-ils ?
Je crois qu’il ne faut pas avoir peur d’y aller. L’aventure entrepreneuriale est remplie de défis mais c’est génial. Tu gères et tu es ta/ton propre partron.ne. Il faut beaucoup travailler parce qu’avoir un projet, c’est y penser sans arrêt. Tu ne rentres jamais le week-end en te disant que la semaine est finie et que tu peux couper. Il faut trouver son équilibre, prendre du recul et continuer à vivre.
De plus, je considère qu’être accompagnée est extrêmement important. Sans une structure comme Groupe One, je ne serai jamais arrivée là où je suis.
C’est aussi très important de tester. J’ai testé pendant un an et demi avant de me lancer réellement, entre mon premier pop-up à l’auberge espagnole pendant 6 mois et mon second dans le quartier Dansaert pendant un an. Ça permet de savoir ce qui marche ou non, de sentir si c’est un métier qui te correspond ou pas. Pour un projet tel qu’Ozer, organiser deux pop-up dans des endroits différents étaient un bel atout. Ces deux expériences m’ont permis de maitriser mon projet, de voir si ça prenait, de donner une première visibilité. Je conseille à tout.e entrepreneur.e de passer par cette étape.
Enfin, le fait de participer à des incubateurs et à des accompagnements permet de rencontrer des gens, d’avoir des feedbacks de chacun.e. Il faut être à l’écoute des conseils de toutes et tous.
Des produits alimentaires made in Belgium, des sous-vêtements durables, des tisanes aux fleurs cultivées dans les champs bruxellois, des cosmétiques zéro déchet… Groupe One vous propose une sélection d’idées cadeaux de nos porteurs et porteuses de projet, pour des fêtes de fin d’année éco-responsables.
Notre première idée se trouve sous la ceinture… Rien que ça ! LeSlibard propose des sous-vêtements confortables et durables, du caleçon au boxer en passant par la petite-culotte. L’idéal pour que vos petites fesses passent une nouvelle année bien au chaud. Et comme rien n’est laissé au hasard, ,LeSlibard a un partenariat avec Natagora : chaque Slibard vendu permet d’acheter une parcelle d’un demi-mètre carré pour préserver la biodiversité.
On reste dans le secteur du textile avec Méson qui créé des articles upcyclés. Méson confectionne des vêtements et des accessoires à partir de textile récupéré à la maison. On craque pour le bag day avec du tissu de fin de rouleau, le bob d’Alphonse ou encore l’oversize. En fait, on aime tout, et encore plus les piliers de Méson : production belge, upcycling, précommande, transparence et économie circulaire.
Que seraient les fêtes de fin d’année sans quelques petites douceurs ? Vanessa Renard propose de délicieux chocolats. De la praline aux tablettes de chocolat, en passant par les gourmandises et le chocolat d’origine biologique et issus du commerce équitable … Vanessa Renard nous en met plein la bouche, pour le grand plaisir de nos papilles. Et si vous souhaitez faire un cadeau à un.e passionné.e de chocolat artisanal, vous trouverez même des ateliers à offrir.
Un jeu de société est LE cadeau idéal pour passer des moments conviviaux, en famille ou entre amis. Le bar à jeu vous offre une sélection de jeux coopératifs, familiaux, experts, d’ambiance, pour deux… Il y en a pour tous les goûts. Le petit plus ? Vous pouvez également en louer pour vos fêtes…pour les tester et être certain.e de ne pas vous tromper ! Cerise sur le gâteau, ils peuvent vous livrer le tout avec quelques bonnes bières belges. Nous, on a aimé Micro macro crime city, So Clever, the Belgian Beer Race, Perudo et Las Vegas! Bien d’autres sont à retrouver ici.
Incontournables cadeaux de fin d’années : les cosmétiques… mais n’importe lesquels ! Les produits de Sipres sont doux et éco-responsables, mais aussi locaux, naturels, efficaces, écologiques et éthiques. Pour les fêtes, Spires propose des coffrets, à découvrir ici.
Moirés vous emmène dans le monde de l’illustration : des carnets de dessins façonnées à Bruxelles aux puzzles fabriqués en Hollande avec des matériaux recyclés. Pour emballer vos cadeaux durablement, pensez également aux emballages réutilisables. Tout se trouve ici !
Pour terminer, découvrez les tisanes de Jardin de sens. Le cadeau par excellence pour cocooner ces prochains jours sous un bon gros plaid, pour se relaxer mais aussi, on l’avoue, pour bien digérer les excès de nos repas de fêtes…
D’ailleurs, en parlant de repas, le magasin Tarh a récemment ouvert ses portes. Vous trouverez tout ce que vous désirez pour préparer à vos convives un délicieux repas respectueux de notre chère Planète.
Et pour l’apéro, passez à l’Apéroterie, pardi ! Tout assortiment est faisable avec plus de 200 références ! Vous choisissez la composition ou vous vous laissez guider. Pour éviter d’attendre, il vaut mieux passer commander et laisser 24h pour la confection du colis cadeau. Sinon, profitez-en pour boire un petit apéro avant l’heure pendant la préparation de votre colis.
Une chocolaterie belge qui valorise les plantes indigènes et le chocolat de qualité, c’est le projet Bomma Flora. « Bomma », qui signifie grand-mère en bruxellois et « Flora » comme le nom de la grand-mère de son fondateur Alain Coppens, qui lui a transmis son amour de la cuisine. Une chocolaterie responsable donc, généreuse comme une grand-mère prête à transmettre ses secrets ET respectueuse vis-à-vis de la flore.
D’où vous est venu l’idée du projet « Bomma Flora » ?
Bomma Flora a démarré avec mon frère qui m’a subtilement glissé à l’oreille l’idée de travailler le chocolat. Il habite au Nicaragua depuis 25 ans et travaillait pour Lutherian World Relief, une ONG qui accompagne, entre d’autres choses, les projets de développement durable. Dans le cadre de sa mission, il a participé au salon du chocolat de Paris avec des producteurs locaux pour découvrir les opportunités de la filière du cacao. C’est à l’occasion de ce salon que j’ai goûté pour la première fois du chocolat de dégustation. Ce chocolat détonne par rapport à ce qu’on a l’habitude de manger. Je me suis rendu compte que nous mangions en fait un chocolat qui avait toujours le même goût alors qu’il existe une multitude de variétés incroyablement savoureuses. A force d’en discuter avec mon frère, j’en suis venu à envisager la possibilité d’en faire mon métier.
Quel a été ensuite votre parcours ?
Auparavant, je travaillais à l’ULB en tant que formateur en aménagement en territoire et urbanisme. Ça me plaisait mais à 50 ans, si je désirais entreprendre, il était temps. C’est ce qui m’a poussé à me lancer.
Après deux ans de formation d’artisan chocolat et deux stages, j’y ai pris goût. C’est alors posé la question « qu’est-ce que je fais ? ». Ma décision s’est orientée vers la création de ma propre chocolaterie responsable. N’ayant jamais eu confiance en l’agro-industrie, je préférais produire mon chocolat moi-même de A à Z. De plus, il était hors de question d’utiliser des mauvais produits.
Vous vous êtes donc lancé dans la création de votre chocolaterie belge, mais pas n’importe laquelle ! Vous proposez des produits qui allient chocolat et plantes. Pourquoi ce choix ?
Pendant que je réfléchissais à mon projet, je lisais le livre « Sorcières : la puissance invaincue des femmes » de Mona Chollet. J’étais surpris d’apprendre que les sorcières sont apparues non pas au Moyen-Âge mais à la Renaissance. A ce même moment, le chocolat arrivait en Europe. Passionné par les plantes, je me disais que si les femmes avaient été libres d’entreprendre ce qu’elles souhaitaient, elles auraient pu réaliser de grandes choses, autant par rapport au goût que par rapport aux vertus médicinales. Cette réflexion m’a mené vers l’idée de travailler avec les plantes indigènes (cultivées ou sauvages), ce qui, en tant qu’agronome, me parlait.
Aujourd’hui, je découvre ou redécouvre des graines qui étaient utilisées auparavant et que nous avons oublié. Avant le citron, par exemple, les gens cuisinaient l’oseille.
Vous réfléchissez également à développer votre projet de manière durable. Pouvez-vous m’en dire davantage ?
J’essaye d’évoluer progressivement et d’illustrer ce que nous pouvons changer plus facilement.
Tout d’abord, tant au niveau de l’approvisionnement de matières premières que dans le processus de production, la production de déchets du secteur du chocolat est effarante. Ma première volonté est de réduire cette quantité à chaque stade du processus de production. Par exemple, mes fèves arrivent dans des sacs en toile de jute et la coque y est remise pour être ensuite vendue comme paillis pour des jardinières.
De plus, je désire investir dans un vélo cargo pour la livraison afin de privilégier la mobilité douce.
J’agis également sur la structure dans laquelle je produis mon chocolat. J’ai choisi Bolt comme fournisseur d’électricité, qui est plus durable. Je me suis implanté à Bruxelles, dans un zoning d’Anderlecht géré par citydev.brusssels qui met l’accent sur l’amélioration de la circularité.
Même au niveau social, j’entame un changement en amenant une réflexion sur l’inclusivité, du point de vue de l’âge, de la nationalité, du genre… En tant qu’entrepreneur, il faut sortir de l’entre-soi et s’améliorer sur différents plans.
Vous êtes suivi par Groupe One pour vous aider dans votre aventure entrepreneuriale. Qu’est-ce que ce coaching vous apporte ?
De mon point de vue, il est important d’avoir un rendez-vous tous les quinze jours avec un coach qui trace les étapes importantes à entreprendre. Au début, je ne savais pas ce qui était difficile et ce qui l’était moins. Je stressais pour l’un, je mettais l’autre de côté. Le fil conducteur est compliqué à cerner sans coach. J’ai également pu me lancer dans la demande de prime, essentielle au début de cette activité qui nécessite des équipements.
Si vous deviez donner deux conseils aux futur.e.s entrepreneur.e.s ?
Rien ne s’est déroulé comme je l’avais prédit. Je crois qu’il est important de démarrer avec un plan de départ mais qu’il faut pouvoir se détacher de ce plan et le faire évoluer.
Un autre conseil est de se mettre en réseau. Le « via via » permet de nourrir son expérience. Discuter avec des gens qui portent des projets donne des idées et fait valoir l’intelligence collective.
En trois mots, votre aventure entrepreneuriale, c’est …
Obsession, parce que finalement, je pense au projet en permanence.
Rencontre, parce que je rencontre beaucoup de monde, même si je travaille seul.
Polyvalence grâce à l’équilibre entre le travail intellectuel, manuel et administratif. Être entrepreneur, c’est avoir un boulot varié.
Il n’existe actuellement aucune structure de collecte et de réutilisation des équipements sportifs en Belgique. Pourtant, l’offre et la demande sont bien présentes ! Pour répondre aux attentes des citoyens, Groupe One propose, à travers son projet la Recyclerie de Sport, de former du personnel à la remise en état des équipements sportifs. Une façon de faire d’une pierre deux coups : répondre à un besoin collectif et créer de nouveaux emplois dans un secteur en plein développement ! Rencontre avec Léa Raymakers, coordinatrice du projet.
En quoi consiste l’initiative ?
Du personnel sera formé dans le cadre d’un projet spécial de réinsertion sociale et professionnelle. Les équipements sportifs seront collectés auprès des clubs et de centres sportifs, mais aussi auprès des particuliers. Une fois remis en état, ils seront vendus à des prix abordables via un magasin et une plateforme de vente en ligne.
Quels matériels sportifs collectez-vous ? Y a-t-il des conditions de collecte ?
Tout type de matériel et équipement sportif est accepté, à condition qu’il soit encore en bon état et qu’il puisse être réutilisé. Par exemple, il peut s’agir de chaussures de sport, de raquettes, de tapis de yoga ou de tables de ping-pong. Globalement, tout ce que vous pouvez acheter dans un magasin de sport, nous le collectons.
C’est une raison de plus de considérer notre projet comme une initiative pleinement collaborative, en plus de contribuer à l’économie circulaire et à la transition écologique.
Quelles sont vos ambitions pour le projet ?
Pour répondre au besoin d’une recyclerie de sport dans la région bruxelloise, Groupe One envisage de combiner le projet actuel avec deux autres expériences acquises que sont SportCircular et la Recyclerie SocialedeSaint-Gilles, et ce, avec le soutien de plusieurs communes bruxelloises. SportCircular intervient comme un service d’accompagnement qui permet aux communes, aux clubs et centres sportifs d’optimiser la durabilité et les ressources de leurs projets et de dégager une vision. La Recyclerie Sociale de Saint-Gilles, comme notre nouveau projet la Recyclerie de Sport, se concentre sur la collecte, le tri et la réparation de tout meuble ou objet de décoration qui n’est plus utilisé. Ces objets sont ensuite vendus dans le magasin de la Recyclerie.
Une recyclerie de sport est l’opportunité idéale pour nombre de citoyens d’accéder au sport, dont les enjeux vont bien au-delà des bienfaits pour la santé, ils contribuent également à notre ambition de préserver les ressources, et de déployer une économie plus durable.
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