Vous l’aurez sans doute remarqué, le projet de vitrine solidaire #MaZone a pris de l’ampleur et est devenu mymarket.brussels. Avec son nouveau slogan « #shoplocal #shopbrussels », le projet mymarket.brussels a pour but de valoriser les commerces locaux bruxellois et de soutenir l’économie locale en mutualisant les services.
Revenons d’abord un peu en arrière….Tout a commencé en 2020 avec le constat de Groupe One sur les conséquences de la crise du coronavirus sur les commerces bruxellois. Frappés de plein fouet, les commerces non-essentiels furent contraints de fermer leurs portes, ce qui les obligea à repenser leur fonctionnement. Chaque commerce a dû repenser sa présence en ligne, digitaliser ses ventes et offrir une livraison à sa clientèle. C’est pourquoi Groupe One a rapidement lancé #MaZone, vitrine solidaire des commerces locaux, qui fut fusionnée 8 mois plus tard avec la plateforme bruxelloise mymarket.brussels.
Mymarket.brussels c’est aujourd’hui bien plus qu’une marketplace, c’est un projet qui englobe 3 volets : le volet commercial avec des accompagnements individuels pour booster sa visibilité en ligne, le volet digital avec la plateforme d’e-commerce, et le volet logistique avec un dispositif de livraison à vélo écologique. Ces services sont complémentaires, mais chaque commerce peut choisir d’accéder à celui qui lui convient. Par exemple, un commerce peut se retrouver sur la plateforme d’e-commerce et proposer la livraison à vélo sans spécifiquement passer par l’accompagnement individuel ou inversement.
Une alternative aux grandes plateformes d’e-commerce
Sur Mymarket.brussels, on retrouve déjà 229 commerces qui proposent tous types de produits, de l’alimentation aux cosmétiques en passant par les jeux et jouets ou par l’électronique. Cette plateforme de vente en ligne est actuellement gratuite pour les commerces, artistes et artisan·e·s indépendants qui sont situés sur la région de Bruxelles-Capitale et qui n’ont pas plus de 7 points de vente. L’objectif est de valoriser les commerces locaux indépendants et de concurrencer le géant Amazon à Bruxelles. Pour découvrir la plateforme et faire ses achats c’est ici : https://mymarket.brussels/
Un accompagnement digital gratuit
Pour soutenir la dynamique de digitalisation des commerces de proximité, mymarket.brussels propose un accompagnement individuel gratuit aux commerces qui souhaitent améliorer leur visibilité en ligne ainsi que leurs compétences digitales. En commençant par un diagnostic général jusqu’à la mise en place d’une stratégie digitale, ce coaching donnera aux commerces des compétences nécessaires pour être plus résilient face aux crises. Plus d’infos sur l’accompagnement : https://groupeone.be/mymarket-brussels/commerces/ ou via coaching@mymarket.be.
Delivery, le service de livraisons à vélo écologique
Le projet mymarket a également mis en place un service de livraison éthique et durable en partenariat avec Urbike et ses vélos-cargos par le biais de Delivery. Delivery.mymarket.brussels propose des livraisons à vélo sur l’ensemble des 19 communes bruxelloise et est réservée aux commerces locaux. Le principe ? Le commerce encode sa livraison pour qu’un·e coursier·e vient chercher le colis directement au magasin et se charge de le livrer à vélo jusqu’au destinataire le jour-même. Pratique et local, c’est également abordable, écologique et éthique !
L’économie circulaire, ça vous dit quelque chose ? Ce concept peut vous paraître abstrait et complexe… Ce guide est là pour vous aider à appréhender ce concept et à identifier concrètement comment vous pourrez l’intégrer dans votre entreprise grâce à de nombreux exemples.
En effet, depuis 2016 et dans le cadre du PREC[1], Village Finance octroie des bourses en économie circulaire à des entreprises bruxelloises exemplaires et innovantes dans ce domaine. Grâce à notre expertise et à ce réseau d’entreprises lauréates, nous avons mutualisé les savoirs et connaissances au travers de ce guide afin de permettre à des entreprises en devenir et à des entreprises existantes d’intégrer l’économie circulaire dans leur activité.
Quel est l’intérêt de mettre en place de l’économie circulaire dans votre entreprise ?
L’économie circulaire, c’est un ensemble de stratégies qui visent à changer de paradigme par rapport au modèle économique « linéaire » (extraire-produire-consommer-jeter). L’objectif est de limiter le gaspillage des ressources et l’impact environnemental liés à l’activité économique, tout en optimisant le cycle de vie d’un produit ou d’un service. L’économie circulaire vise aussi à augmenter le bien-être des individus et des collectivités.
Que pourrez-vous trouver dans ce guide ?
Le guide reprend les différents thèmes de l’économie circulaire tout au long du cycle de vie d’une entreprise : la proposition de valeur, les ressources matérielles, le design et la production, l’usage, la fin de vie, le système et le territoire et la citoyenneté. Chaque thème est expliqué et illustré par des exemples concrets et inspirants. Vous pourrez également y trouver l’offre bruxelloise d’accompagnement et de financement en économie circulaire, ainsi que le fonctionnement de la bourse en économie circulaire de Village Finance.
Posé sur la plage, dans le jardin ou à la maison… le tapis Jackino est bien plus qu’un tapis d’éveil ! C’est aussi un petit coin de lecture pour les enfants plus âgés. Pour les plus aventureux, le tapis peut même devenir une île magique…
Comment est né Jackino ?
Audrey : L’idée de Jackino a émergé lors de mon premier congé de maternité, il y a 3 ans. Ayant grandi avec deux parents entrepreneurs et après une expérience de travail dans le monde de l’entrepreneuriat et de l’économie circulaire… j’ai eu très envie de me lancer et de faire quelque chose de mes mains.
En tant que maman, je me suis demandée ce qui manquait pour mon bébé, ce que je ne parvenais pas à trouver. J’ai débarqué dans le salon de ma maman, Dominique, en lui annonçant que j’avais une idée de tapis de jeu local et durable pour enfant.
Il a fallu un an pour mettre le projet sur les rails, prototyper, chercher des pistes de production… Après avoir trouvé l’atelier, testé les coloris, nous avons lancé le site internet. Jackino s’est concrétisé il y a plus ou moins deux ans !
Au départ, nous vendions surtout à des copines, de bouche à oreille. Au fur et à mesure, nous nous sommes adressées à des personnes que nous ne connaissions pas.
Aujourd’hui, nous fonctionnons comme une petite start-up. Nous gérons nous-même notre site internet, nous actionnons notre réseau lorsque nous avons besoin d’un service tel qu’un photographe, nous travaillons en petite production pour savoir si le nouveau produit plait à nos clients.
Comment fonctionne votre binôme ?
Audrey : Dans un premier temps, ma maman m’a accompagnée pour trouver des contacts en me laissant faire. Petit à petit, nous avons fini par travailler à deux, main dans la main.
Dominique : Nous sommes complémentaires puisqu’Audrey s’occupe de ce qui est réseaux sociaux, communication et le choix des tissus. Je m’occupe davantage de la partie production : achat et fabrication. Toutes les deux, nous souhaitions travailler avec des entreprises de travail adapté, même si c’était un défi de trouver une entreprise dans le domaine du textile.
Nous avons beaucoup travaillé dans la recherche de tissus, de matériaux durables ainsi que dans le choix denos partenaires partageant les mêmes valeurs.
Est venue ensuite la partie commerciale : comment faire connaitre nos tapis Jackino ? Nous vendons principalement en ligne mais nous sommes également présents dans une dizaine de points de vente, à Bruxelles et en Wallonie. Cela permet aux clients de toucher, de sentir et de voir nos tapis et pour nous, c’est l’occasion de développer un contact différent avec la clientèle et d’avoir un retour. Prochainement, nous commencerons à démarcher la Flandre.
Quelles sont vos perspectives ?
Audrey : C’est une bonne question parce que nous sommes dans une période cruciale dans l’histoire de Jackino ! Est-ce que nous voulons aller plus loin ou rester dans notre zone de confort ?
Nous avons différentes pistes mais rien n’est décidé à ce stade. Nous pourrions engager quelqu’un avec un profil complémentaire aux nôtres. Nous pourrions aussi produire dans des ateliers plus grands pour augmenter nos productions, tout en restant en Europe.
Dominique : Est-ce qu’on veut vivre du tapis ou développer d’autres articles ? Nous pourrions imaginer d’étoffer notre collection et d’en faire un concept éco-responsable dédié à nos petits.
Les années nouvelles sont souvent synonymes de challenge ! En tout cas, notre produit est aujourd’hui bien au point.
Qu’est-ce que l’accompagnement chez Groupe One vous a apporté ?
Audrey : J’ai eu mon premier contact avec Groupe One il y a 3 ans et nous sommes coachés par Christophe Heyvaert. Au début, nous nous sommes vus régulièrement. Nous nous rencontrions tous les deux mois, voire tous les mois. Pendant la covid, nous nous sommes entendus deux ou trois fois.
A chaque fois qu’on voit Christophe, nous ressortons avec la pêche !
Dominique : il est incroyable ! Il booste, il remet les idées en place, il ouvre des portes que nous n’osions pas ouvrir. Nous sommes tirées vers le haut. J’ai une grande expérience de l’entrepreneuriat mais son approche est tout à fait différente : il a la vision du moment.
Audrey : Quand nous venons avec des questions dont il ne connait pas les réponses, il fait appel à son équipe et revient toujours concrètement vers nous. Il nous met également en contact avec d’autres entrepreneurs. Cette mise en réseau grâce à des structures tel que Groupe One est un super point positif.
Que donneriez-vous comme conseils à des futurs entrepreneurs ?
Dominique : Je leur conseillerais d’être curieux de ce que font les autres. C’est facile de rester dans son projet, son secteur mais c’est important de voir ce qu’il se passe ailleurs. Je leur dirais aussi d’avoir un coach pour s’ouvrir vers l’extérieur, d’avoir beaucoup d’énergie et de ne jamais laisser tomber.
Un autre de mes conseils serait de trouver un partenaire pour être à deux. C’est motivant.
Audrey : Pour ma part, je conseillerais de bien s’entourer avec des personnes bienveillantes et réalistes qui sont présentes quand ça va bien mais aussi quand il est temps de se poser les bonnes questions. Et puis essayer ! Cela ne sert à rien d’être parfait, il faut se lancer. Je pense aussi que se faire plaisir est essentiel !
Patatak, c’est une friterie artisanale où tout est fait maison de A à Z. Les pommes de terre viennent d’un producteur et sont pelées et coupées sur place. Toutes les sauces et les snacks sont faits maison pour un prix relativement sensible à une friterie classique. Notre objectif est de célébrer la gastronomie « street food belge » avec des classiques et d’y ajouter quelques innovations sans jamais oublier cet esprit « snack ».
Dans le choix de nos produits, nous voulons également travailler avec des personnes qui ont une sensibilité similaire à la nôtre et qui s’inscrivent dans une même démarche. Par exemple, nos bières viennent entre autres de la brasserie de la Senne et de la brasserie Dupont. Nous avons un vin blanc venant du tout premier producteur viticulteur belge : le domaine Melmont. Nous faisons des croquettes avec des champignons provenant de Bruxelles et des croquettes avec du fromage de Herve…
En avril dernier, vous avez commencé à composter vos déchets. Pouvez-vous nous en dire davantage sur votre démarche zéro déchet ?
Après avoir épluché les pommes de terre, nous obtenons une pâte liquide, qui n’est rien d’autre que le mélange de nos épluchures de pommes de terre et de l’eau. Nous nous sommes demandés « Qu’est-ce qu’on peut faire de ça ? ». Nous voulions atteindre au maximum le zéro déchet.
Le début du confinement aura eu comme avantage de nous donner le temps de finaliser cette démarche. Parvenir à traiter 150 à 180 kilos de déchet par semaine pour qu’ils soient compostés dans une des zones les plus densément urbanisées de Bruxelles était une vraie gageure. Nous avions une série de contraintes à régler ! Aujourd’hui, nous avons relevé le défi et sommes passés de 200 kilos de déchets en moyenne à 3 sacs de poubelles par semaine pour 1000 tickets hebdomadaires vendus. Seuls quelques déchets comme le packaging personnalisé avec de l’encre ne peuvent pas être compostés.
Pour un bon compost, il faut avoir 50 % des matières humides, comme nos épluchures de patates ainsi que 50% de matières sèches. Le reste de notre packaging, les barquettes non-personnalisées, les assiettes, les serviettes, les fourchettes en bois, permet de contrebalancer la matière humide que sont les épluchures.
Que faites-vous de ce compost, ensuite ?
La matière compostable est renvoyée à notre producteur local de pommes de terre qui l’utilisera pour nourrir la terre où elles seront produites.
Nous avons également eu envie de profiter de notre compost pour répondre à certaines inconnues sur l’apport de certaines matières.
Jusqu’à ce jour, personne ne sait si les déchets tels que la matière kraft ou le carton ont une réelle valeur ajoutée, par exemple. Ont-ils un apport neutre ou ont-ils une plus-value ?
Après avoir commencé notre compostage en avril, nous avons réalisé un carottage du sol de notre producteur en octobre ainsi qu’un carottage de notre compost. Ces carottages ont été envoyés à un laboratoire. Nous ferons ensuite un second compostage vers mars, une fois que le compost aura été déversé sur le sol. Grâce à cette analyse, nous allons pouvoir répondre à cette question de la plus-
value, et donner une indication précieuse au secteur du packaging et de l’Horeca. Nous aurons une
information pratique et solide sur ce qu’il est possible de faire avec le compost.
Si vous aviez des conseils à donner, quels seraient-ils ?
Bosser et se sacrifier pour tenter de sauver ce qui peut l’être face à la crise sanitaire. Ce genre de
crise, avec une bonne réflexion, permet une analyse plus fine sur son commerce : un bon plan
financier, une bonne connaissance de ses coûts, connaître ses chiffres…
Il faut aussi savoir se remettre en question, discuter avec ses clients et être dans l’échange. Ça
permet de se rendre compte si une idée n’est pas au bon endroit ou au bon moment, même si elle
paraissait bonne.
2021, pour vous, c’est …
Continuer avec le compost, réouvrir, trouver de nouveaux snacks… En 2020, nous étions ouverts en
ne faisant que de la vente à emporter. Malgré cette alternative, la situation reste difficile pour le
secteur de l’HoReCa. En 2021, les premiers mois continueront très certainement à être compliqués.
Ensuite, nous espérons rouvrir et retrouver les clients…
Les filles Bonhomme, c’est une petite entreprise de maraîchage installée dans la province du Luxembourg. Début 2020, Sandrine et Catherine Bonhomme ont rejoint le projet de leur papa pour apporter un nouveau souffle à la production familiale, étalée sur un hectare de terrain. A l’automne 2020, nous échangeons avec Sandrine Bonhomme sur l’expérience des premiers mois.
Bonjour Sandrine ! Parlez-nous de votre projet ? Que proposez-vous ?
Avec ma sœur, nous avons décidé début 2020 de rejoindre l’entreprise de maraîchage de notre papa. Nous étions animées par la passion du métier et l’envie de lui venir en renfort pour déployer davantage notre petite entreprise familiale !
Nous produisons principalement des légumes – pour le moment, des courges butternuts, potimarrons, haricots, courgettes, tomates, aubergines… et nous vendons nos produits directement aux particuliers, aux restos et aux écoles. Nous gérons notre production en famille, parfois avec le renfort de quelques amis.
Comment s’est passée la période de confinement et la rentrée ?
Notre première saison a évidemment été un peu chamboulée par le confinement. Il n’y avait pas beaucoup de production issue de l’hiver dernier, le printemps étant surtout une période de semis et de plants, mais nous avons eu beaucoup de demandes.
Compte tenu de ses années d’expérience, notre papa savait que les choses risquaient de ralentir une fois le confinement terminé. Il a observé cela à chaque crise, notamment à l’époque de la vache folle.
C’était un peu frustrant, car durant quelques mois, on s’est démenés pour répondre à la demande, les gens ne se rendent pas toujours compte du travail qu’il y a derrière. De nombreux producteurs ont dû faire face au même constat de diminution drastique de la demande. Pendant le confinement, les gens avaient plus de temps, peut-être une vie moins surchargée. Du coup, cela a renforcé notre envie de leur faciliter la vie, ils peuvent commander les produits via un formulaire en ligne sur notre page Facebook. Bientôt on aura une boutique en ligne qui devrait nous faciliter la gestion des commandes.
Quels sont vos objectifs pour cette fin d’année et pour 2021 ?
Nous souhaitons surtout trouver un bon rythme de croisière, installer une 3ème serre pour augmenter la production. Nous voulons aussi amplifier la communication, organiser les portes ouvertes pour faire découvrir ce qu’on fait.
A plus long terme, nous souhaitons aussi faire de la transformation, des conserves et proposer nos produits dans un point de dépôt permanent. Pour que les gens perdent cette habitude d’acheter des légumes dans la grande distribution 😉
Quel message avez-vous envie de faire passer à vos clients potentiels ?
Les filles Bonhomme, c’est une entreprise familiale, nous sommes passionnées par notre métier et l’envie de faire découvrir les produits au fil des saisons. Nous voulons faciliter l’accès aux produits pour tous, mais surtout maintenir ce côté convivial, le contact direct avec les clients, c’est chouette de les entendre nous dire qu’ils ont aimé nos tomates ou testé telle recette qu’on leur a partagée. C’est la vraie richesse de notre métier, pas juste du commerce !
Avez-vous envie de partager un conseil, une expérience, une phrase inspirante… à de futurs entrepreneurs ?
On a eu la chance de ne pas commencer à zéro. Le démarrage a été un peu violent avec le confinement, et on a pris conscience qu’un travail de planification est indispensable. L’accompagnement qu’on a eu chez Groupe One était hyper utile, cela nous a incité à réfléchir à beaucoup de choses liées au travail, à la communication, aux aspects financiers, etc. Il nous a permis d’apporter une vision complémentaire au projet de notre papa, en insufflant du dynamisme et de la modernité !
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